Actualités
Validité de nos ordres
VALIDITÉ DU SACERDOCE DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE NORDIQUE PAR LE PAPE FRANÇOIS Dans le cadre des relations inter-ecclésiales et œcuméniques, un pas vient d’être franchi. Le Pape François a rendu public la reconnaissance des ordres de l’Église catholique nordique. Sur le site Web < katolsk.no > sous la rubrique « Nouvelles » le service d’information de l’Église catholique en Norvège a rendu public le 9 janvier qu’un ancien prêtre de l’Église catholique nordique. Fr Erik Holth, sera incardiné le 7 février 2016 sans ré-ordination.
Voici une abréviation du texte : «Le 5 septembre 2015 le Pape François a décidé sur recommandation de la Congrégation pour la doctrine de la Foi que l’ordination sacerdotale du Père Erik Holth dans l’Église catholique nationale polonaise (P.N.C.C) est valide. La lettre de la Congrégation pour la doctrine de la Foi est datée du 1er décembre 2015. L’Église catholique nationale polonaise est l’Église-Mère de l’« l’Église catholique nordique où le Père Holth a fait office de prêtre de 2001 à 2011... » Site de l'Eglise Catholique Romaine d'Oslo : http://www.katolsk.no/nyheter/2016/01/nesten-ny-prest-i-bergen |
Synode Européen de notre Eglise
Du 7 au 9 Août 2015, se déroulera à Oslo notre synode. Deux prêtres de notre communauté de France seront présents. |
Metropolitan Cléopas visite Oslo
Le 28 Mars, lors de sa visite à la paroisse orthodoxe grecque à Oslo, Metropolitan Cléopas a été invité à une réunion avec le Conseil chrétien de Norvège (Churches Together). Son Eminence Cléopas, exarque du Patriarcat de Constantinople en Scandinavie, a transmis les salutations du patriarche Bartholomé et a prononcé un discours difficile insistant sur la nécessité pour un œcuménisme de renforcer et de plus actif. L'exarque qui est également membre du Conseil patriarcal, a déclaré que la division entre les chrétiens est contre la prière du Christ pour l'unité et paralyse les églises dans la lutte avec le sécularisme croissant dans notre temps. En outre, il craint que les chrétiens sont confrontés à une nouvelle persécution aussi brutale et impitoyable que le monde a vu au troisième siècle. Face à ces défis, les églises orthodoxes doivent, pour leur propre bien, se engager activement dans le dialogue inter-confessionnel et le travail œcuménique. (Le manuscrit du discours de la région métropolitaine est disponible ici .) Le Sunday évêque Roald Nikolai Flemestad et Dean Asle Ambrosius Dingstad suivante étaient invités à la paroisse grecque à Oslo. À la fin de la liturgie, le métropolite Cléopas adressé aux visiteurs de l'Eglise catholique nordique. Soulignant les relations historiques étroites entre l'orthodoxie et le catholicisme Vieux, le Metropolitan souhaitait de toute urgence de raviver le dialogue et a exprimé son espoir que il devrait être possible d'établir la pleine communion avec l'Église catholique nordique. Partage de l'analyse de la Metropolitan de la nécessité d'un œcuménisme renouvelée évêque Roald Nikolai chaleureusement accueilli son invitation. |
Relations judéo-chrétienne : peut-on dialoguer avec l'islam ?
Posted On 31 août 2014 By : Abbé Alain Arbez
Dans l’Eglise catholique romaine, les relations entre chrétiens et juifs font partie de la logique de l’œcuménisme. On peut même dire que sans cet enracinement biblique et ce retour aux sources communes, la réalisation de l’unité des chrétiens serait condamnée à l’échec. Mais l’identité chrétienne en a besoin également pour se hasarder dans les dédales du dialogue interreligieux, en particulier avec l’islam. Ce n’est pas un hasard si, au Vatican, c’est le même dicastère pour l’œcuménisme qui encadre les relations entre catholiques, protestants et orthodoxes (même religion chrétienne, traditions différentes) et les relations entre chrétiens et juifs (même référence à l’alliance, traditions religieuses différentes). Quand on sait que le terme oekumene dans le monde grec signifiait « l’assemblée universelle », on est donc bien orientés selon un axe de critères fondamentaux semblables entre chrétiens et juifs, puisque la qehila en hébreu s’applique à « l’assemblée convoquée par le Dieu d’Israël », puis à la primitive Eglise, branche dissidente « messianique » originellement composée uniquement de membres de culture hébraïque, avant de s’ouvrir aux gentils. Les médias évoquent un « œcuménisme » qui laisse croire à une appartenance commune entre l’église et la mosquée totalement fictive Or, notre époque politiquement correcte, friande de concepts fourre-tout, a tendance à utiliser abusivement le même terme d’« œcuménisme » pour tout et n’importe quoi, au nom d’un multiculturalisme idéalisé ; et, précisément, c’est souvent le cas lorsqu’il s’agit de manifestations ou de rencontres composées de chrétiens et de musulmans, les médias évoquent un « œcuménisme », ce qui laisse croire à une appartenance commune entre l’église et la mosquée totalement fictive. Ce contresens se nourrit de l’illusion encore bien répandue – et parfois entretenue – qu’au fond c’est du même Dieu qu’il s’agit de part et d’autre, comme si le coran n’était qu’une variante de la bible, comme si Jésus était le porte-parole d’Allah… Les médias nous parlent souvent des « trois monothéismes » pour faciliter l’amalgame, ou encore des « religions abrahamiques » comme si l’on parlait du même Abraham, quand ce n’est pas des « religions du Livre », expression pourtant spécifiquement islamique. Or, la problématique des liens entre chrétiens et musulmans ne relève pas de l’œcuménisme – qui suppose un noyau dur identique – mais de l’interreligieux, concept self service, il est vrai, et à géométrie variable et arbitraire. D’où proviennent ces confusions entre œcuménisme et interreligieux, avec ces fausses symétries trahissant des complaisances objectivement suicidaires ? Pour en faire l’historique, remontons aux années 60, berceau des idéologies qui ont accompagné la période de la décolonisation, de la croissance, et d’une certaine modernité. L’Eglise n’échappait pas à cette pression des événements lorsque fut convoqué le concile Vatican II par le pape Jean XXIII. C’est dans ce climat conjoncturel, au nom d’une générosité « d’ouverture », et d’un souci volontariste d’aggiornamento, que le Concile voulait encourager les esprits à dépasser le traditionnel ecclésio-centrisme pour prendre en compte tout ce qui est vrai et bon chez les autres courants de pensée (cf Lumen Gentium, 1965). La rédaction de la déclaration Nostra Aetate fut laborieuse, en raison de protestations courroucées de patriarches moyen-orientaux allergiques à une réconciliation judéo-chrétienne. Centré au départ sur une relation judéo-chrétienne enfin réactivée, le texte remanié se contentait au bout du compte, et de manière plus générale, d’inviter les catholiques à accueillir comme signe de l’Esprit l’expérience religieuse des autres croyants, islam compris. Une affirmation théologique vitale se laissait donc édulcorer en invitation sentimentale facile à manipuler. Une symétrie ambiguë inscrivant quasiment sur le même plan le dialogue avec les musulmans S’il rouvrait en tout état de cause la voie longtemps bloquée des relations fraternelles entre chrétiens et juifs, le Concile laissait de ce fait, par le style adopté, s’établir la possibilité d’une symétrie ambiguë inscrivant quasiment sur le même plan le dialogue avec les musulmans. Cette manière prudente, plus sociologique que théologique, de poser le problème allait engendrer des malentendus à n’en plus finir parmi les chrétiens, auxquels le Magistère ne fournissait pas l’ancrage spirituel indispensable ni les garde-fous précis pour se lancer dans une aventure aussi risquée. De plus, la théologie catholique du judaïsme encore balbutiante après 2000 ans de dérive n’offrait pas de structures de pensée reflétant suffisamment l’histoire respective des deux courants issus du même tronc hébraïque. Heureusement, par la suite, sous le pontificat de Jean Paul II, des documents officiels viendraient combler en grande partie ces manques de clarté en ce qui concerne le lien vital et irréversible entre judaïsme et christianisme, mais l’élan initial de Nostra Aetate formulé de manière angélique avait quelque peu brouillé les cartes et laissé libre court à des perspectives équivoques dans la relation au monde musulman, lui-même en pleine effervescence. Khadafi profita des bonnes dispositions des participants chrétiens pour appeler tout le monde à se convertir à l’islam Pour ce qui touche à la question de l’islam, dans le monde catholique, le danger était bel et bien de passer d’une attitude d’ouverture et de bienveillance à un comportement de complaisance et de compromission. Rappelons-nous la rencontre islamo-chrétienne de Tripoli (Lybie) en 1976, où Khadafi profita des bonnes dispositions des participants chrétiens pour appeler tout le monde à se convertir à l’islam. Autre repère essentiel dans le débat, la rencontre d’Assise en 1986, à l’initiative du pape Jean Paul II. Là aussi les malentendus furent considérables et le message fut brouillé. Les quelque 100 dignitaires religieux de toutes appartenances avaient répondu présents à cet appel du pape à manifester une attitude commune de dialogue respectueux dans une sorte de concert pacifique des religions. Beaucoup en déduisirent que Jean Paul II avait prié avec les musulmans, et qu’ainsi une caution chrétienne était apportée à la validité spirituelle de l’islam, religion montante. Or, le pape avait prié à côté des musulmans, chacun selon sa foi, ce qui est sensiblement différent. Il ne se voulait pas en humanité plus proche des imams sunnites du Caire que des shamans indiens du Dakota.
Inciter les musulmans à progresser vers une relative réciprocité, attitude inconnue en islam Sans doute le quiproquo est-il là encore fondé sur le fait que le Concile n’avait évoqué que des relations positives à établir entre catholiques et musulmans. Le Concile n’a jamais proposé d’établir une relation théologique entre christianisme et islam. Simplement de chercher à créer des liens courtois dans l’ordre du vivre ensemble, autant que faire se peut. Avec l’arrière-pensée d’inciter les musulmans à progresser vers une relative réciprocité, attitude inconnue en islam. Ce n’est pas parce que naturellement la dawa exige d’islamiser le monde et donc aussi le christianisme que les chrétiens doivent se fabriquer à tout prix une idée chrétienne de l’islam. Les chrétiens ont une fâcheuse tendance à transformer en attitude affective ce qui devrait relever d’abord de l’analyse critique ! Il est clair que certains préfèrent la dévotion à la connaissance. De nombreux militants chrétiens s’imaginent donc retrouver dans l’islam leurs propres valeurs, en toute sincérité mais en totale incompétence. Car les termes-clés en arabe de la religion de Mahomet ne peuvent pas trouver d’équivalent dans le registre judéo-chrétien, l’islam ne se situant pas sur le terrain biblique. Peu de chrétiens sont conscients du sens de l’expression « Allah ou akbar » clamée lors de l’appel à la prière mais aussi lors d’assassinats ou d’attentats. Cette phrase répétitive ne signifie pas de manière bucolique « Ah ! Que Dieu est grand ! » mais de manière polémique : « Allah est le plus grand !», ce qui est évidemment une revendication à placer l’islam comme supérieur à toutes les autres croyances. « Vous êtes la meilleure communauté au monde ! » dit le coran aux musulmans. C’est cette visée qui les incite à construire des minarets plus élevés que les clochers des églises ou à imposer leurs coutumes en terres anciennement chrétiennes. Peu de chrétiens savent que la profession de foi musulmane, la chahada, (ashadu an la ilaha illa I-illah) est une expression négative. « Il n’y a pas de dieu si ce n’est Allah ». Cette négation affirmative est en fait une profession de foi exclusiviste : elle implique le rejet du polythéisme mais aussi et surtout celui de la foi trinitaire des chrétiens. Dénonciation méprisante des infidèles et des impies, puisque le plus grand péché pour les musulmans est le shirk, le fait d’associer à Allah un être humain, en l’occurrence Jésus. N’oublions pas que pour les juifs et les chrétiens, la bible est un ensemble d’écrits humains inspirés par Dieu. On peut donc décortiquer, analyser les textes, sérier les messages, les interpréter selon leur contexte et leur symbolique. Pour les musulmans, en revanche, le coran n’est pas un écrit humain. C’est la parole même d’Allah incarnée dans un livre sacré. D’où l’impossibilité absolue de critiquer la moindre virgule, de remettre en question la sourate même la plus effrayante ; car on peut commenter mais pas interpréter, sous peine de blasphème. A partir de quoi est instaurée la fixité définitive de la parole coranique, et par conséquent l’impossibilité congénitale de toute évolution ultérieure. L’Ecriture Sainte des juifs et des chrétiens est considérée par les musulmans comme abrogée, dépassée. D’ailleurs les musulmans ne lisent ni la bible hébraïque, ni les évangiles. Car le coran est la vérité ultime ; c’est pourquoi les juifs et les chrétiens sont accusés d’avoir falsifié les enseignements d’Allah dans leurs Ecritures. Le coran, qui loue le Miséricordieux mais ignore le mot « amour » s’ouvre par la Fatiha, une sourate considérée par la tradition islamique comme matricielle ; elle serait comme un résumé théologique. Or, selon une tradition millénaire, le verset 7 de cette sourate, après avoir dit tout le bien des vrais croyants, (les musulmans), exècre deux catégories à bannir : les juifs « ceux qui sont l’objet de la colère d’Allah » (al-magdubi ‘alyhim) et les chrétiens « ceux qui se sont dévoyés loin de sa volonté » (ad-dalin). Les chrétiens qui se réjouissent un peu vite de retrouver Jésus et Marie dans la religion islamique devraient y regarder à deux fois. Car cette Myriam, même si elle est vierge, est la sœur de Moïse qui a vécu 1350 ans auparavant !; et ce Jésus appelé Issa n’est pas celui de la foi néo-testamentaire issue de la Bible : Issa ibn Myriam est un bon musulman, un prophète de l’islam dont les hadiths nous disent qu’il viendra à la fin des temps pour « briser les croix, tuer les porcs et instaurer la seule vraie religion, celle d’Allah » (Abou Dawoud). Il éliminera les juifs et les chrétiens – ainsi que toutes les autres catégories d’infidèles – pour purifier le monde de tout obstacle impur au règne d’Allah. L’islam est diamétralement opposé au cœur du message chrétien L’islam demande d’obéir, le christianisme demande d’aimer Ce Issa n’est pas le Jésus des évangiles. Il n’est pas mort sur la croix, nous dit le coran. Il n’est en tout cas pas un Fils de Dieu, puisque Allah n’est pas père, et comme il n’y a pas de péché, il n’y a pas de rédemption ni de salut. On peut constater à quel point l’islam est diamétralement opposé au cœur du message chrétien et des références bibliques qui le sous-tendent. Pas d’alliance, pas d’amour, pas de péché, pas de rédemption, pas de salut, mais une loi, la scharia, c’est-à-dire des règles à observer pour ne pas fâcher le souverain céleste, inconnu, lointain, implacable. L’islam demande d’obéir, le christianisme demande d’aimer. L’islamologue et islamophile Louis Massignon, référence des militants des relations islamo-chrétiennes, va même dans un moment (exceptionnel) de lucidité jusqu’à reconnaître que « la tendance générale de la théologie islamique va à affirmer Dieu plutôt par la destruction que par la construction des êtres » (L. Massignon, Passion). Dans le reste de ses écrits, le même Massignon a plutôt renforcé l’islamophilie naïve des chrétiens sur des bases totalement contestables, liées à son ambiguïté personnelle. L’islam n’est pas demandeur de dialogue Alors, quel dialogue avec l’islam ? L’islam n’est pas demandeur de dialogue. Ce qui l’intéresse, c’est d’amener des chrétiens sur son terrain, fût-ce par le biais des soufis – pourtant honnis par les autorités islamiques – et d’apparaître officiellement à leurs côtés comme une des grandes religions en Europe. Une chose est d’établir lorsque c’est possible des relations amicales et culturelles avec des personnes de confession musulmane, dans le respect mutuel des identités, une autre est de se fourvoyer avec des intentions irréalistes sur des chemins de confusion où la taqqia est à l’affût. Il n’y a pas de convergence théologique et spirituelle entre christianisme et islam. Le traitement réservé aux chrétiens dans de nombreux pays islamiques – actuellement médiatisé – mais longtemps occulté – aurait déjà dû ouvrir les yeux des amateurs de rapprochement artificiel et des idéologues complaisants. Abbé Alain René Arbez
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Le terrible présage de l’archevêque de Mossoul aux occidentaux
24 Août 2014 « Vous aussi vous êtes en danger… Vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison », a mis en garde Monseigneur Amel Shimoun Nona, l’archevêque de Mossoul, dans une interview vidéo accordée au Corriere Della Sera. Délire « islamophobe » diront certains, ou prévision réaliste, bien malheureusement ?
L'archevêque de Mossoul qui a fui la barbarie islamo-fascistes des mercenaires du Qatar et d'Arabie Saoudite en Irak. Dans un cri
de colère et de désespoir, après le génocide que vient de subir les chrétiens
d’Irak de la part des islamo-fascistes de l’EIIL, l’archevêque de Mossoul a
déclaré que « Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens
européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche ». |
Le Notre Père
Sur l'Eglise Catholique Nordique
Sur notre communauté en France
![]() Communiqué du Vicaire Épiscopal sur la Christianophobie En raison du silence coupable de nos gouvernements, et médias occidentaux, je ne puis au nom de notre communauté ecclésiale "Vieille-Catholique - Union de Scranton" me taire face au déferlement anti-chrétien en Syrie, au Nigéria, au Pakistan, en Egypte où des centaines d'églises, de commerces, de maisons brûlées ou détruites ; des prêtres, des pasteurs, des chrétiens de base attaqués et tués pour la seule raison qu'ils sont chrétiens. Meurtres, enlèvements, kidnappings, demande de rançons, rapt et viol de filles mariées de force à des non-chrétiens. Aucune dénonciation de l'occident, silence des médias. Ici même en France des églises sont taguées, profanées, des croix de carrefour saccagées, des cimetières chrétiens vandalisés. Les biens pensants ne s'offusquent pas, il n'y a pas d'appel à manifester, pas de déplacement de ministre ; on minimise toujours. Mutisme également du clergé romain catholique : il ne faut pas faire de vague au nom de la déclaration conciliaire de Vatican II "sur les relations de l'Eglise avec les religions non-chrétienne". Ce manque de courage, ce manque d'empathie, cette indifférence envers nos frères chrétiens d'Orient torturés, martyrisés, réduits à être des sous-hommes me choque au plus profond de mes entrailles. J’appelle le clergé et les laïcs de nos Eglises à prier au cours de chaque célébration pour ces témoins de la Foi. Ils sont pour nous des exemples. Sommes-nous capable dans notre monde occidental encore libre de proclamer notre foi en Dieu Père, Fils et Saint-Esprit même si nous devons essuyer des quolibets de la part de nos proches. Peut-être un jour comme nos frères d'Orient si c'est la volonté de Dieu, nous devrons témoigner jusqu'au martyrs. Que Dieu dans sa grande miséricorde ai pitié de nous pour notre manque de foi, lui qui est bon et ami des hommes et que la mère de Dieu soit pour nous "perpétuel secours". Chanoine Alain FRAYSSE . |